Résumé:
La notion classique de providence divine (conduite du monde par un Dieu bienveillant) soulève plusieurs objections : la présence du mal, la liberté de l’homme, la conception d’un agir divin. À la différence de la perspective stoïcienne qui mettait l’accent sur l’ordre du monde, la tradition chrétienne valorise une liberté qui ouvre une histoire. La poursuite de cette histoire fait appel à une pluralité d’instances.
Référence:
François EUVE, « Repenser la Providence », Recherches de Science Religieuse, 2018/2 (Tome 106), p. 185-198.