Résumé:
Les responsables de formation des futurs prêtres ou religieux sont plus que jamais requis d’aborder, avec les candidats, les questions affectives et sexuelles inhérentes à leur maturation humaine et spirituelle. Il s’agit premièrement, pour les accompagnateurs de séminaristes ou de novices, d’opérer un travail sur eux-mêmes en vue d’aborder avec les jeunes le domaine délicat des comportements plus ou moins perturbés. C’est sur l’horizon d’un équilibre global des personnes que peuvent s’insérer les problématiques liées aux dérives et abus de toutes sortes.
Référence:
Noëlle HAUSMAN, « Former en prévenant les abus. Démaîtrise et responsabilité ecclésiale », Nouvelle revue théologique, 2018/1 (Tome 140), p. 55-73.