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Actualités

« ‘Nor thou nor thy religion dost controule, The amorousnesse of an harmonious Soule’ :
Repenser les productions et les pratiques dévotionnelles dans les îles Britanniques (XVIe-XVIIIe siècles) »

Une journée d’étude préparatoire aura lieu le 5 avril 2024 pour permettre aux chercheurs de présenter leur recherche.
Elle prendra la forme d’un colloque qui se tiendra du 3 au 4 avril 2025 à la Maison de la Recherche de l'Université Paris Nanterre.

Ce projet est organisé conjointement par l’Université Paris Nanterre (CREA EA 370) et l’Université Clermont Auvergne (Institut d’Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités, UMR 5317).

Les langues du colloque sont le français et l’anglais. Les propositions de communications (25 minutes), d’une longueur de 300 à 500 mots (titre et résumé), assorties d’une courte notice bio-bibliographique, sont à adresser conjointement à
Nicolas Bourgès : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et Julie VanParys-Rotondi : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
pour le 30 septembre 2023.

Les propositions de doctorants et de jeunes chercheurs sont les bienvenues.

Comité Scientifique

Paula Barros (Université Paul-Valéry Montpellier 3)
Nicolas Bourgès (Université Paris Nanterre)
Yan Brailowsky (Université Paris Nanterre)
Myriam-Isabelle Ducrocq (Université Paris Nanterre)
Clotilde Prunier (Université Paris Nanterre)
Laurence Sterritt (Aix-Marseille Université)
Julie VanParys-Rotondi (Université Clermont Auvergne)

SOCIÉTÉ DES BOLLANDISTES
Boulevard Saint-Michel, 24 - 1040 Bruxelles (Belgique)

La Société des Bollandistes, établie à Bruxelles, recherche un(e) licencié(e)/master en histoire ou philologie classique ou romane/langues anciennes pour la fonction de

SECRÉTAIRE DE RÉDACTION

  • Langues anciennes : très bonne connaissance du latin et du grec.
  • Langues modernes : excellente connaissance du français requise, et connaissance, au moins passive, de l'anglais; toute autre langue moderne est également bienvenue, en particulier l'italien, l'espagnol et l'allemand.
    Connaissances informatiques : traitement de texte, mise en page, bases de données, traitement de l'image.
  • Connaissance du christianisme et intérêt pour son histoire.
  • Ce travail à temps plein (38 h/semaine) consiste essentiellement dans la gestion des articles et recensions devant être publiés dans la revue Analecta Bollandiana et des livres devant être publiés dans les collections Subsidia hagiographica et Tabularium Hagiographicum : correspondance avec les auteurs, mise en page, relations avec l'imprimeur et avec l'éditeur de la version numérique.
  • Le travail peut inclure également d'autres tâches nécessaires au bon fonctionnement de la Société. Le barème est celui d'assistant universitaire. Le contrat est à durée déterminée (deux ans), pouvant déboucher sur un contrat à durée indéterminée.

L'entrée en fonction est prévue, si possible, pour le mois de janvier 2022.
Envoyer, avant le 30 novembre 2021, lettre de motivation et curriculum vitae à l'adresse suivante :
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Tél. : +32 (0)2 740 24 21 - Fax: +32 (0)2 740 24 24 - Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
www.bollandistes.org

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Ministère de l’intérieur, Direction des libertés publiques et des affaires juridiques

Bureau central des cultes

Appels à projets de recherche

 

« Islam, religion et société » - AAP 2021 Axes, thèmes et sous-thèmes

 

Trois axes de recherche sont soumis pour l’exercice 2021. Leur classement ne constitue pas un ordre préférentiel. Chacun est précédé d’une courte note d’orientation générale. Ces axes de recherches sont déclinés en champs thématiques pour lesquelles des propositions de sujets sont faites à titre uniquement indicatif.

Au sein de chaque axe, des grands thèmes sont proposés aux chercheurs, ainsi que, de manière indicative, des sujets d’intérêt. Ils constituent des sujets, pas, peu ou très anciennement étudiés mais n’épuisent pas le champ d’étude susceptible d’être soutenu par le ministère. Les chercheurs peuvent ainsi proposer leurs propres sujets, dès lors qu’ils s’inscrivent dans un des grands axes disciplinaires. A chaque axe sera allouée une dotation prévisionnelle maximale, dans le cadre de l’enveloppe globale, qui sera ensuite répartie en fonction des projets retenus par le conseil scientifique et le conseil d’administration. Ainsi, toutes les candidatures ne seront pas retenues et financées.

Les chercheurs formulent librement leur problématique, leur méthode et proposent eux- mêmes l’identification de leur espace d’enquête, ainsi qu’un calendrier, sachant qu’une durée d’environ 12 mois sera privilégiée. Les chercheurs peuvent également proposer un sujet de leur choix, dont ils auraient identifié l’importance, dès lors que celui-ci s’intègre dans l’un des trois axes génériques. Les thèmes de recherche peuvent donner lieu à des séminaires et à des projets académiques qui seront financés au même titre que les recherches.

AXE 1 - CONNAISSANCE DE L’ISLAM EN FRANCE

Ce premier axe des crédits de recherche du programme « islam, religion et société » propose trois orientations de travail relevant du champ disciplinaire des sciences humaines et sociales, appliquées à l’étude du fait religieux musulman en France. L’étude de terrain apparaît comme un préalable indispensable et l’interdisciplinarité sera favorisée (anthropologie, sociologie, économie, histoire, archéologie, droit, sciences politiques, géopolitique, sciences de l’éducation). Cette dernière pourra se manifester dans la composition des équipes de recherche. Les recherches qui s’inscriront dans cet axe contribueront à la compréhension des dynamiques complexes qui traversent aujourd’hui le fait religieux musulman en France et en Europe, dans sa dimension protéiforme.

Sont présentés ci-dessous les trois thématiques qui structurent cet axe et des propositions de sujets, à titre d’exemples :

1.1 Les fidèles musulmans et leurs pratiques

1.Les pratiques rituelles musulmanes (aïd, prières, sermons, mariages, zakât…)

2. La sécurité des fidèles et des lieux de culte

3. Le rôle et la place des femmes dans l’islam en France aujourd’hui

4. Les convertis en France : processus, durée et réversibilité

5 - La hijra (intérieure et extérieure)

1.2 Les institutions de l’islam en France

6 - Le rôle des fédérations musulmanes en France

7 - La structuration départementale de l’islam en France : motivations, engagements, et perceptions

8 - L’islam dit consulaire : rôle et influence

9 - Le financement de l’islam en France

1.3 Enseignement et formation

10- L’enseignement confessionnel privé : contenu des programmes et appropriation par les élèves

11 - La vie des ministres du culte : quotidien, formations et parcours

12 - Droit du travail et protection sociale des cadres religieux musulmans en France

AXE 2 - LES TENDANCES ACTUELLES DE L’ISLAM EN FRANCE

Ce deuxième axe propose trois thématiques, dans lesquelles s’inscrivent neuf propositions indicatives de sujets.

La première propose des sujets sur la place de l’islam dans les débats publics. La deuxième propose des sujets relatifs aux formes d’engagement contemporain dans l’islam en France. La dernière s’intéresse au développement des médias relayant des informations à destination des Français de confession musulmane, et plus spécifiquement sur les réseaux sociaux.

2.1 L’islam dans le débat public

13 - Conceptions musulmanes de la liberté de conscience et de la laïcité

14 - Le dialogue entre les acteurs du culte musulman et l’Etat

2.2 Les formes de l’engagement des citoyens musulmans

15 - Etre jeune et musulman en France aujourd’hui

16 - Les acteurs de l’action sociale d’inspiration confessionnelle

17 - Les entrepreneurs musulmans

18 - Les partis « musulmans » en Europe

2.3 L’islam 2.0

19 - Socialisation musulmane sur internet

20 - Les imams « Youtubeurs » (rôle et stratégie d’influence sur les réseaux sociaux)

21 - Le développement des médias « communautaires » (sites d’informations, journaux et revues)

AXE 3 - ISLAMOLOGIE : DEVELOPPEMENT ET DIFFUSION DE LA CONNAISSANCE

Ce troisième axe propose deux thématiques dans lesquelles s’inscrivent sept exemples de sujets.

La première thématique propose des sujets assez larges et comparatifs, relevant de l’historiographie, et de l’histoire des textes. La seconde propose des objets d’étude contemporains.

3.1 Islamologie classique

22 - Les nouvelles approches des corpus religieux musulman, chrétien et juif

23 - Le corps de la femme : pudeur et propriété dans le corpus islamique

24 - Le statut de l’animal dans la pensée juridique islamique

3.2 Islamologie appliquée

25 - Les mouvements coranistes contemporains

26 - Héritage : théories juridiques et pratiques contemporaines

27 - L’écologie actuelle au prisme du corpus islamique

28 - Lectures et méthodes de lecture du corpus religieux classique dans le contexte contemporain

DEPOT DES CANDIDATURES

Les dossiers de candidature au format papier seront envoyés au :

Ministère de l’intérieur, DLPAJ, Bureau central des cultes, Place Beauvau

75800 Paris Cedex 08

Et au format électronique2 (poids du courriel de 4 Mo maximum) :

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Pour plus d'informations, voir en PJ, le guide de candidature

 

 

 

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Programme Espace et Religieux (PEER)1

Appel à communications

Table ronde « Convertir un lieu »

Jeudi 10 et Vendredi 11 mars 2022, Université Côte d’Azur (Nice)

 

En France, l’intérêt des sciences humaines et sociales pour l’espace comme entrée et objet d’analyse pertinents, croissant depuis les années 1980 (le « tournant spatial »), est désormais généralisé. Les études portant sur les spatialités des sociétés se multiplient, notamment en ce qui concerne l’analyse des faits religieux. En histoire et en archéologie, c’est d’abord pour la période médiévale et l’étude du christianisme que s’est développée une réflexion sur la construction de l’espace appuyée sur des notions d’anthropologie (Congrès de la SHMESP, 2007). Plus récemment, une géographie des faits religieux s’est constituée en une branche distincte de la géographie culturelle, mobilisant des concepts sociologiques et anthropologiques (Dejean, Endelstein, 2013). En sociologie et en anthropologie des religions, le terrain d’enquête n’est plus seulement décor mais paysage des expériences et des représentations (Obadia, 2015). Face à cet intérêt pour les rapports entre l’espace et le religieux, la Table ronde des 10-11 mars 2022, intégrée au programme Espace et Religieux, se voudrait être une occasion de dialogue entre les disciplines. La thématique choisie est celle de la conversion de l’espace. Fortement transversale, elle fait écho à d’importantes dynamiques religieuses de l’histoire, inévitablement associées à des mécaniques socio-politiques. La conversion des lieux renvoie du reste à des considérations contemporaines : visibilité religieuse dans l’espace ou enjeux patrimoniaux (Sainte Sophie à Istanbul).

Nous nous intéresserons ici à la notion de conversion dans sa dimension religieuse, soit l’adoption de nouvelles croyances par un individu ou un collectif, de manière forcée ou volontaire (Azria, Hervieu-Léger, 2010). Puisque l’humain est spatial (Lussault, 2007), la conversion des hommes et des femmes doit s’envisager dans des lieux et des territoires. Bien qu’abordés par différents groupes de recherche, tels que le programme en histoire POCRAM, les questionnements sur la conversion de l’espace restent limités par leurs cadres disciplinaire, chronologique et/ou géographique. Cette journée d’étude entend décloisonner la réflexion en invitant des chercheurs, jeunes ou confirmés, de tout horizon disciplinaire au sein des sciences humaines et sociales. Chaque participant sera invité à expliciter ses démarches et ses modèles, afin de permettre d’éventuels transferts entre disciplines. Toutes les « religions » peuvent être envisagées : les trois monothéismes (judaïsme, christianisme et islam), les polythéismes (historiques tels que le panthéon grec et actuels tels que l’hindouisme) et d’autres expressions spirituelles (bouddhisme, animisme, totémisme). Le « lieu » d’inscription des faits religieux peut renvoyer à des espaces anthropiques ou naturels (Unesco, 1998), abstraits ou matérialisés, et être étudié à différentes échelles et à travers différents types de représentation. Aucune limite géographique ou historique (de la Préhistoire à nos jours) n’est imposée.

Nous voudrions inviter à réfléchir à la conversion de l’espace du point de vue des acteurs (politiques, religieux, économiques), de leurs motivations et des moyens mis en œuvre, et à ses conséquences socio-spatiales. Des distinctions seraient à opérer dans le processus entre des religions universalistes et missionnaires et des religions non englobantes. La conversion de l’espace peut se traduire par une modification matérielle du paysage (édification de lieux de culte, mise en scène de symboles) ; par des rituels ou mobilités « territorialisant » la religion (Bonnemaison, 1992) ; par l’adoption d’une autre conception de l’espace sacré (Nordeide, 2013) ; par la gestion des co- spatialités dans le cas d’une coexistence religieuse ; par l’instauration de nouvelles dénominations (toponymes, substantifs désignant l’espace religieux) ; par la théorisation et l’institutionnalisation des lieux religieux par des discours normatifs ; par l’évolution des représentations autour des cultes inscrits dans l’espace (patrimonialisation, sécularisation). Les questions de continuité ou de temporalité (moment de la conversion ou processus sur la longue durée) offrent également matière à réflexion. Ces différents phénomènes permettent in fine d’interroger la nature spatiale de la conversion : existe-t-il des transitions religieuses s'opérant sans conséquences territoriales, ou la conversion religieuse est-elle fondamentalement spatialisée ?

Dans cette optique, les propositions pourront s’insérer dans l’un des trois axes suivants :

  1. Convertir un lieu pour lui donner un sens
  2. Convertir un lieu pour inscrire une norme religieuse différente de celle qui était auparavant liée à ce
  3. Convertir un lieu afin d’effacer ou d’occulter sa dimension

Les propositions de communication (résumé et titre) ne devront pas dépasser 500 mots et seront accompagnées de renseignements (situation institutionnelle, domaine de recherche). Nous attendons vos propositions avant le 20 septembre par mail à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Bibliographie indicative

  • Bonnemaison J., « Le territoire enchanté. Croyances et territorialités en Mélanésie », Géographie et Cultures, 3, 1992, p. 71-88.
  • Construction de l'espace au Moyen Âge : pratiques et représentations, Actes des congrès de la SHMESP, 37ᵉ congrès tenu à Mulhouse, Publications de la Sorbonne, Paris, 2006.
  • Dejean F., Endelstein L., « Approches spatiales des faits religieux. Jalons épistémologiques et orientations contemporaines », dans Carnets de Géographes, 2013.
  • « Conversion », dans R. Azria, D. Hervieu-Léger (dir.), Dictionnaire des faits religieux, Presses Universitaires de France, Paris, 2010, p. 188-190.
  • Nordeide S. W. (dir.), Sacred Sites and Holy Places: Exploring the Sacralization of Landscape through Time and Space, Brepols, Turnhout, 2013.
  • Obadia L., « Spatial turn, beyond geography: a new Agenda for sciences of religion? », International Review of Sociology, 25:2, 2015, p. 200-217.
  • Poutrin I., « Changement de décor. La conversion des lieux de culte », Conversion/Pouvoir et religion, 3 novembre 2014. En ligne : http://pocram.hypotheses.org/429
  • Les Sites sacrés naturels, Symposium Unesco, Paris, France, 22-25 septembre 1998.
  • Scheid J., De Polignac F., « Qu’est-ce qu’un “paysage religieux” ? Représentations cultuelles de l’espace dans les sociétés anciennes », Revue de l’histoire des religions, 2010/4, p. 427-434.

En PJ :appel à communication

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PRIX MICHEL SEURAT

APPEL À CANDIDATURES 2021

Sociétés contemporaines du Proche-Orient et du Maghreb

Le Prix Michel Seurat a été institué par le CNRS en juin 1988 pour « honorer la mémoire de ce chercheur du CNRS, spécialiste des questions islamiques, disparu dans des conditions tragiques. Ce programme vise à aider financièrement chaque année un jeune chercheur, ressortissant d’un pays européen ou d'un pays du Proche-Orient ou du Maghreb, contribuant ainsi à promouvoir connaissance réciproque et compréhension entre la société française et le monde arabe ».

Depuis 2017, l’organisation du Prix a été déléguée au GIS « Moyen-Orient et mondes musulmans », en partenariat avec l’IISMM-EHESS et Orient XXI.

D'un montant de 15 000 € en 2021, le Prix est ouvert aux titulaires d'un master 2 ou d'un diplôme équivalent, âgés de moins de 35 ans révolus et sans condition de nationalité, de toutes disciplines, dont la recherche doctorale en cours porte sur les sociétés contemporaines du monde arabe, domaine envisagé comme ouvert et en interaction avec d'autres contextes et traditions intellectuels.

Il a pour vocation d’aider un jeune chercheur ou une jeune chercheuse à multiplier les enquêtes sur le terrain, dans le cadre de la préparation de sa thèse. Les enquêtes doivent avoir lieu sur le terrain. La maîtrise de la langue arabe est une condition impérative.

Date limite de dépôt des candidatures : jeudi 15 avril 2021 (minuit, heure de Paris)

Constitution du dossier

  • un plan et un projet de recherche détaillés précisant de manière claire les parties réalisées du travail et celles qui restent à faire, notamment les enquêtes qui seront menées sur le terrain (10 pages maximum, exclusivement en français) ;
  • un curriculum vitae (exclusivement en français) ;
  • une copie des diplômes obtenus, assortie le cas échéant de leur traduction en français ;
  • une ou plusieurs attestations ou lettres de soutien émises par des personnalités scientifiques connaissant de près le travail et/ou le parcours du candidat ou de la candidate : attestations récentes et en rapport avec la candidature au Prix Seurat (lettres en français, en anglais ou en arabe).

Les dossiers sont à adresser uniquement par voie électronique, impérativement aux deux adresses suivantes : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.   Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Règlement du 30 janvier 2018 à consulter, en annexe.