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À propos du GIS

 

1. Le fonctionnement du GIS

 Objectifs :

  • Rendre visible l’activité de la recherche sur la thématique des religions dans le cadre de la francophonie
  • Favoriser le travail en commun (par exemple, congrès sur la Tradition en octobre 2019),
  • Remettre au CNRS un livre blanc sur la recherche (état des lieux, sur les postes, les formations, les financements etc.) Le site internet du GIS va permettre de recueillir toutes ces informations.
  • Apporter un appui par exemple aux jeunes doctorants par des journées de formation ou un prix de thèse.

 

Fonctionnement :

L’université Lyon 2 a mis à disposition du GIS des bureaux dans les locaux de la MILC (35 rue Raulin à Lyon, 1er étage). C’est là que travaille Malika Gragueb. Il a donc fallu installer le bureau.

Pour faciliter la communication du GIS, ont été réalisés des kakemonos qui serviront lors des différentes manifestations (voir annexe 3).

 

Organisation :

Le GIS a été créé en janvier 2017 mais ne fonctionne véritablement que depuis la début 2018, c’est-à-dire à partir du moment où l’université Lyon 2 a mis un personnel à disposition en lieu et place de sa participation financière.

Le GIS, conformément à ses statuts, se structure de la manière suivante :

  • Une direction : à l’origine il était prévu deux personnes. Séverine Mathieu ayant démissionné, Philippe Martin se retrouve seul directeur
  • Un conseil qui réunit les établissements ayant adhéré. Il se réunit normalement une fois dans l’année. Le nombre d’établissements ayant signé la convention étant très réduit, ce conseil n’a pas été réuni en 2018 mais un compte-rendu d’activité sera expédié à chaque établissement.
  • Le conseil scientifique représente les équipes. Il s’est réuni à Strasbourg en octobre 2018 (voir annexe 1). La direction du Gis a en effet la volonté d’animer l’ensemble des établissements ayant signé la convention. La réunion à Strasbourg se justifie par le travail important mené par ces équipes dans nos questions. En outre, le statut particulier de Strasbourg a permis de poser des questions fondamentales pour notre champ de recherche (ex. : place de la théologie). Ont été présents : Guillaume Bady (HISOMA), Christophe Batsch (CECILLE), Nicole Belayche (EPHE), Philippe Blaudeau (TEMOS), Marie Lecomte-Tilouine (LAS), Faezeh Bekhnaveh (CERMOM), Philippe Desmette (CRHIDI) Katy-Jeanne Rousselet (CERI), Anne Fornerod (DRES), Christian Grosse (FTSR), Dominic Moreau (HALMA), Stefano Simiz (CRULH), Marc Vial (théologie Protestante, Strasbourg), Christian Grappe (théologie protestante), Matthieu Arnold (théologie Protestante, Strasbourg), Denis Fricker (théologie catholique, Strasbourg)
  • Il a été créée un comité pour l’organisation du Congrès. Il est composé de : Séverine Mathieu (Paris), Dominique Avon (Paris), Stefano Simiz (Nancy), Anne Fornerod (Strasbourg), Guillaume Bady (Lyon). Ce groupe s’est réuni à Lyon en juin 2018 pour élaborer le programme du Congrès ; il s’est retrouvé à Strasbourg en octobre. Depuis, il travaille via internet.

Prix de thèse

Conformément au programme, il a été décidé de créer un prix de thèse. Il s’agit ici d’attribuer non seulement une somme d’argent mais également d’apporter un appui à la publication de la thèse en Français (en faisant le lien avec des éditeurs). Pour l’instant, il n’y a pas de collection spécifique chez un éditeur en vue.

Il s’agirait également de favoriser la diffusion de la thèse dans une autre langue.

La discussion porte sur : le nombre de thèses que le GIS ne pourra pas gérer ; la spécificité d’un prix alors qu’il en existe ailleurs… Pour beaucoup, un tel prix octroie à un doctorant visibilité et reconnaissance. Sur un CV, c’est un atout.

Un groupe est constitué pour réfléchir à sa faisabilité, à son règlement etc. Il est constitué de :

  • Philippe Desmette (CRHIDI, Bruxelles)
  • Marie Lecomte-Tilouine (LAS, Paris)
  • Christophe Batsch (CECILLE, Lille)
  • Nicole Belayche (EPHE, Paris)
  • Stefano Simiz (CRULH, Nancy)
  • Philippe Martin (Lyon)

 

Question des conventions

Peu d’établissements ont signé la convention. Depuis l’automne, Malika Gragueb, gestionnaire du GIS, a la possibilité de relancer les établissements (ce qui n’était pas possible auparavant) ce qui accélère le processus de signature.

La signature des conventions est indispensable pour pouvoir disposer des dotations prévues dans la convention.

Reste la question des établissements francophones non-français : Bruxelles, Lausanne, Montréal, Port-au-Prince, Tunis-Carthage… ont souhaité avec force entrer dans le GIS. Des représentants de ces universités ont d’ailleurs été présents lors de la réunion de Strasbourg.

2. Présentation du site du GIS

Le site a pour fonction de :

  • Favoriser la visibilité des fonctions, spécialités des chercheurs, travaux,
  • Mettre en ligne des ressources dont les laboratoires sont propriétaires (par ex, interviews filmés, captation de la table ronde, etc.),
  • Rassembler de l’information bibliographique pour préparer le livre blanc.
  • Fournir un état de la recherche actuelle en français

Il n’est pas destiné à devenir une énorme plateforme mais plutôt un hub qui oriente à partir de liens.

Le chercheur doit s’inscrire sur le site. Sa demande est validée par le directeur. Cela fait, le chercheur peut poster des informations, enrichir la bibliographie…

Des questions sur le choix des ressources, les droits d’accès, les vidéos ont été discutées :

  • Quels sont les critères pour déposer des ressources sur le site ? Il n’y a pas de critères déterminés. C’est au chercheur de décider en responsabilité des ressources qu’il dépose. Il est noté qu’un biais dans la représentation de tel ou tel axe de recherche peut apparaître si des chercheurs plus zélés que d’autres postent souvent.
  • Qui peut poster des informations sur le site ? Toute personne ayant une affiliation universitaire qu’il soit membre ou non du GIS.
  • Est-ce qu’une personne venant par exemple d’une faculté catholique reconnue par la communauté scientifique ?

Il est convenu que :

  • le chercheur est responsable de ce qu’il poste,
  • Toutes les personnes affiliées à un établissement public ou à un établissement dont
  • les diplômes sont reconnus par l’Etat peut publier sur le site.
  • Pour toutes les autres personnes, c’est le conseil scientifique qui prend la décision.
  • Les membres du conseil scientifique qui le souhaitent peuvent poster eux-mêmes leurs informations ou ressources. Un accès pour les onglets : actualités, ressources, formation leur sera donnée après inscription sur l’annuaire.

L’adresse du site est : <http://gis-religions.fr/>

3. Echanges scientifiques

Le GIS invite des collègues étrangers pour qu’ils puissent présenter leurs travaux à la communauté scientifique. Le GIS couvre les frais (transport…) et les équipes qui accueillent le collègue pour une intervention couvrent les frais sur place (repas).

Le GIS fait circuler une fiche pour chaque collègue pressenti, elle est envoyée aux équipes qui font (ou pas) des invitations. L’ensemble est géré par le GIS.

Fidèle à son souci de favoriser les échanges internationaux, le GIS a privilégié des interventions de collègues étrangers enseignant en francophonie. Il s’agit de :

  • Louis Rousseau (UQAM, Montréal)
  • Pierre Gisel (Lausanne)
  • Herold Toussaint (Université d’Etat de Haïti)
  • Nader Hammami (université La Manouba, Carthage)

A chaque fois, le déroulement est le suivant :

  • Intervention à Lyon pour une conférence
  • Enregistrement d’une interview sur le thème de la tradition, thème retenu par le GIS pour structurer son action ; ces itw sont faites dans des établissements culturels associés au GIS (Musée des Confluences, Musée des Beaux-Arts…) ce qui nous permet d’avoir un impact en dehors du monde strictement universitaire
  • Circulation du collègue dans d’autres universités

Extrait de l’interview filmée de Nader Hammami (captation au Musée des Beaux-Arts de Lyon)

Extrait de l’interview filmée de Pierre Gisel (captation au Musée des Confluences)

4. Production de ressources

Le GIS produit deux types de ressources :

  1. Des interviews filmées en prévision du Congrès de 2019 ; ces captations vidéo se font à Lyon en partenariat avec des institutions culturelles (ex. : le Musée des Confluences)
  2. Des ressources en lien avec son programme scientifique. Ainsi la journée organisée à Strasbourg autour de la question des textes

Ces ressources sont mises en ligne sur le site du GIS

Le GIS a commencé un travail sur la production scientifique sur les questions des religions et de la laïcité. Une étude systématique des trois dernières années de production d’articles scientifiques dans les revues francophones a été menée à partir d’une grille d’enquête. Il s’agit de savoir : quelles religions sont considérées ? quels sujets sont abordés ?

Pour l’année 2019, un travail similaire sera effectué sur la presse grand public pour voir ce que les journaux proposent : est-ce en adéquation avec les travaux scientifiques ?

Ces éléments serviront de base à la constitution du livre blanc ; ils permettent de faire le point sur ce que sait aujourd’hui sur ces questions.

5. Le congrès

Le Congrès aura pour sujet LA TRADITION. Il aura lieu en octobre 2019 à Lyon en partenariat avec plusieurs institutions culturelles : Musée des Confluences, Musée des Beaux-Arts, Bibliothèque municipale… ce qui permettra de toucher un vaste public non-universitaire.

Le matin les réunions auront lieu à la MILC, édifice dépendant des universités de Lyon. L’après-midi et la soirée se dérouleront dans des institutions culturelles partenaires.

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